Picard quand tu t'égares
Vous êtes en train de déguster un merveilleux bâtonnet de glace au chocolat. Celui-ci justement. Infiniment croquant. Parfaitement fondant. Jusqu'au coeur. Emballage moderne, teinte lila peps qui vous donne déjà le goût de l'été, rigolo en somme, vous validez! Et vous repensez au moment où face au bac de glace vous avez dû faire votre choix et vous imaginez ce moment précis. Celui où à la pub vous décidez de vous offrir un petit plaisir gustatif, même si vous n'avez pas très faim. Juste pour le plaisir. Parce que "c'est bon comme ça" dixit Sinclair. Avec la petite pochette en plastique souple ca cartonne. Vous vous dites que si le sachet est si léger, bien ma foi, ça peut pas nous faire de mal de précéder l'été. Préparez-vous on décolle...
L'avantage avec une glace c'est qu'on est vite fixés. Vous croquez, ça fond, vous êtes fixé. Soit c'est top et vos papilles ne pensent qu'à la prochaine bouchée, soit c'est ... comme pour moi ce fameux soir c'est pas bon du tout. C'est de l'eau. Mais QUE de l'eau. Pas même un arrière-goût de chocolat. Que nenni. Sans parler du fait qu'il a fallu la finir cette glace pour être sure que vraiment elle cassait pas trois pattes à un canard. A retenir donc.
Mais bon, un petit écart de temps en temps, on lui pardonne. Parce que notre ami Picard, il envoie du bon. Je l'aime, malgré tout. Malheureusement pour notre ami on a plutôt tendance à faire passer les informations facilement quand elles sont négatives et moins quand elles sont positives. Mais comme autour de moi personne ne tarit d'éloges sur le "freezer center" arrivé en premier rue de Rome à Paris en 1974 (j'ai appris un truc là aussi), et bien je pouvais me permettre, non?